
La responsable administrative et commerciale de l'entreprise qui avait vendu le poisson également nommé «oilfish» ou «filet de gonelle» est passée jeudi devant le Tribunal de police de Boudry (NE), la société coupable étant basée dans la région neuchâteloise. Le patron de la firme a pris la défense de son employée, condamnée à 9000 francs d'amende, en faisant opposition à cette décision, rapportent les quotidiens neuchâtelois. L'affaire a finalement été renvoyée devant le Ministère public, qui devra déterminer qui porte réellement la responsabilité de cette livraison.
Le patron a admis ne pas s'être souvenu des restrictions entourant la commercialisation du poisson, qui ne peut être vendu qu'aux privés moyennant des avertissements bien spécifiques. Pour sa défense, il a ajouté: «Ce poisson ne faisait pas partie de mon assortiment, il m'a expressément été demandé et depuis lors j'ai décidé de ne plus en vendre à qui que ce soit». L'article ne précise en revanche pas si c'est bien le CHUV qui a réclamé ce met apparemment peu apprécié par certains.
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