
L'employé était alors chargé de les capturer et de les tuer lui-même... à mains nues. «Il a pour mission de poser des cages puis, une fois les pigeons attrapés, de leur rompre, à la main, les cervicales», pouvait-on lire dans «LEst Républicain».
Une méthode qui aurait permis à la Ville de se débarrasser de 2 000 à 3 000 pigeons par an. Alertée, la Ligue protectrice des oiseaux (LPO) de Moselle a adressé la semaine dernière un courrier à la mairie pour dénoncer un procédé «barbare». Les élus de la préfecture mosellane assurent quils sont actuellement en train de réfléchir à une solution «moins brutale»...
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