«Il y a sept mois, je suis ¬sorti de laide sociale. Et maintenant jy retourne», souffle Pierre-Alain Christen. Le commerçant ne comprend pas la décision des autorités denlever son chalet: «On mempêche de travailler, alors que la commune se dit à gauche!» En tolérant sa présence durant lhiver, la Municipalité lui avait permis dêtre autonome financièrement.
Bien quelle soit sensible au rôle que le marchand peut jouer au centre de la ville, notamment en termes danimation, la syndique Marianne Huguenin fait valoir le respect de la législation. «Nous avions autorisé une activité transitoire de vente de marrons. Vu les températures hivernales, nous avions même toléré linstallation dun chalet, explique-t-elle. Mais nous ne voulons pas de structure permanente à cet endroit, qui aurait de toute façon nécessité des autorisations en bonne et due forme et une mise à lenquête.» La pétition a été envoyée au Conseil communal hier: il nest pas impossible quune solution alternative soit trouvée.
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