Les entreprises incriminées sont actives dans la pub. Elles sont au nombre de deux, installées à Genève et en France voisine, et partagent un même administrateur. Leur tactique est simple: elles proposent aux commerçants daider financièrement les pompiers en achetant un encart publicitaire dans un magazine ou en participant au budget dune kermesse. A chaque fois, le montant investi atteint les 500 ou 600 fr.
Contactée par le quotidien local, une des sociétés visées plaide le malentendu avec les clients démarchés et jure ne jamais sêtre fait passer pour des pompiers. Et Pierre-Yves Corthésy de renchérir en prévenant la population que le CRDIS ne place que très rarement des publicités dans de magazines, ni ne récolte de largent pour lorganisation de fête. «Le cas échéant, nous nous présentons nous-mêmes, nous nous légitimons et nous sommes en tenue», précise-t-il.
Lusurpation étant très difficile à prouver, les filous devraient sen tirer sans être inquiétés par la justice.
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