Le président du tribunal n'a pas manqué de souligner que leur mariage se voulait «d'arrangement». Si le couple aujourd'hui clame en choeur qu'il n'y a jamais eu d'intention du mari de faire du mal à sa femme, le tribunal a retenu les conversations accablantes de l'accusé et ses aveux après son arrestation pour le juger coupable de lésions corporelles simples et de contrainte.
Pour la Cour, le prévenu, algérien, s'inquiétait des conséquences dune séparation sur son permis de séjour et son avenir professionnel en Suisse. Il a écopé d'une peine privative de liberté de 15 mois avec sursis. Son délai d'épreuve est fixé à quatre ans.
0 comments:
Post a Comment