Indignée, la femme écrit alors au premier établissement, la Clinique du Chablais, pour se plaindre. Aucune réponse. Contacté par «20 minutes», le directeur goûte peu les critiques et se dit habitué aux attaques contre les centres dentaires: «On tente de nous faire beaucoup de mal.» La dentiste mise en cause, elle, assume son diagnostic et propose de «réexaminer gratuitement» la jeune patiente.
Les spécialistes du milieu refusent de pointer de façon définitive une éventuelle erreur médicale. «Labsence de caries sur une radiographie ne veut pas dire quil ny en a pas», déclare une experte. De son côté, la Société suisse des médecins-dentistes (SSO) explique que ce type détablissements peut moins facilement être sanctionné, car non membre. Conseillère auprès de la Fédération des patients, Antoinette Hayot souligne que «les cliniques dentaires pratiquent des tarifs moins élevés, mais facturent parfois des opérations non nécessaires»
*Prénom demprunt.
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