Selon lematin.ch, elle a fait part vendredi, au cours d'une réunion extraordinaire, de son mécontentement face aux déclarations publiques du Scom. Ce dernier se dédouanait de toute responsabilité.
Dans un courrier que le quotidien s'est procuré, un membre de l'état-major de la police indique que les forces de l'ordre ne sont en aucun cas responsable de la décision controversée du Scom. Il écrit que «c'est le manque de communication à l'interne du SCom, envers les différents acteurs que sont la police en général et le SABRA (ndlr: le service de protection contre le bruit), qui est à l'origine de ce "mini tsunami genevois".»
En conséquence, le Scom a demandé l'interruption des contrôles dans les 28 établissements en vue d'apaiser les esprits.
0 comments:
Post a Comment