Alors qu'il était venu au premier jour d'audience, jeudi, le généticien français ne s'est pas présenté le jour suivant. Il était donc absent au moment de la lecture du verdict et de sa condamnation à 16 ans de prison pour le meurtre de sa belle-mère Catherine Ségalat, le 9 janvier 2010. Il avait pourtant été acquitté en première instance et le Ministère public avait décidé de faire appel.
Actuellement, le généticien se trouve en France, à son domicile. Comme un accord d'extradition n'existe pas entre la Suisse et la France, Laurent Ségalat se prémunit ainsi d'une incarcération subite. Si la peine est confirmée par la suite, il pourrait aussi la purger en France en vertu d'accords entre les deux pays.
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